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Laisser pleurer ou consoler : comment décider au bon moment ?

  • Photo du rédacteur: Pauline Charbonnier
    Pauline Charbonnier
  • 18 mars
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 29 mars


Le sommeil des enfants est une grande aventure pour eux… et pour vous aussi. 


Quand vient le moment du coucher, les pleurs peuvent être source d’inquiétude et de questionnements. Faut-il laisser pleurer ou consoler immédiatement ? 


Comment trouver un équilibre entre accompagner son enfant et l’aider à gagner en autonomie ?


La réponse n’est pas toute faite, car elle dépend de chaque enfant, de chaque parent et de chaque situation. Décryptons ensemble les clés pour faire un choix qui vous correspond.


Les pleurs : un moyen d’expression, pas forcément un signe de détresse


Un bébé ou un jeune enfant pleure parce que c’est son seul moyen d’exprimer ses émotions. Il peut pleurer parce qu’il est frustré, qu’il a du mal à s’apaiser seul ou que ses habitudes changent. 


Mais cela ne signifie pas forcément qu’il est en détresse ou qu’il se sent abandonné.


Accompagner les pleurs ne veut pas dire qu’il faut toujours consoler immédiatement. Il est possible de le rassurer, tout en lui permettant d’apprendre à s’endormir sereinement.


Laisser pleurer, mais pas seul(e) trop longtemps


L’idée n’est pas de laisser son enfant pleurer pendant de longues minutes sans intervention. 


On peut poser un cadre rassurant sans forcément le prendre dans les bras immédiatement. 


Par exemple :

✔️ Rester près de lui sans le prendre dans les bras

✔️ Lui parler doucement pour le rassurer

✔️ S’éloigner progressivement tout en revenant régulièrement


Cela permet à l’enfant de comprendre que ses émotions sont entendues, mais aussi qu’il peut peu à peu apprendre à gérer ses endormissements.


Une question de ressenti parental


Chaque parent vit différemment cette question du sommeil. Certains seront plus à l’aise avec un cadre ferme, d’autres préféreront intervenir plus rapidement.


🟡 Dans un couple, il peut aussi y avoir des différences d’approche : l’un peut être plus strict, l’autre plus souple. Ce qui compte, c’est de trouver un équilibre qui convient à toute la famille.


🟡 Si votre épuisement est trop grand, la priorité est aussi de vous préserver. Se reposer, demander de l’aide, voir comment ajuster les choses, sans culpabilité.



Alors, comment décider ?


Il n’y a pas de solution universelle, mais voici quelques repères pour faire votre choix sereinement :


💡 Si votre enfant pleure en étant frustré par un changement d’habitude, il est possible de l’accompagner sans céder immédiatement, tout en restant présent(e).


💡 Si les pleurs deviennent intenses et prolongés, il est peut-être temps d’intervenir pour éviter une trop grande montée en stress.


💡 Si vous vous sentez trop épuisé(e) émotionnellement pour le laisser pleurer, alors suivez votre instinct et faites ce qui vous semble juste à l’instant T.


👉 Le plus important ? Trouver un équilibre qui respecte les besoins de votre enfant, mais aussi les vôtres.


Si vous avez besoin d’accompagnement pour mieux gérer les couchers et les nuits de votre enfant, je suis là pour vous aider à mettre en place des solutions adaptées.


📅 Prenez rendez-vous : envoyez moi un mail !


🌙 Chaque famille est unique, et vous faites déjà un travail formidable ! 💛

 
 
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